Friday 2 December 2011

Billet d'actualité (deuxième)

Bonjour à tous, aujourd'hui, le billet va traiter d'une catastrophe étant arrivée tout récemment. Il s'agit des inondations et des glissements de terrain en Guadeloupe. L'incident est survenu entre le 26 et le 29 novembre. Cela a été causé par de fortes pluies, plus de 156 mm par endroits en une seule journée, et pour un total de 250 mm. Cela représente environ 3 semaines de pluie sur cette région. Suite à ces précipitations, le niveau de l'eau a grimpé et a entraîné des coulées de boue qui ont fait plusieurs victimes.

Ces fortes précipitations se sont déroulées alors que le pays était en saison humide, c'est-à-dire qu'il s'agit d'une période de l'année avec beaucoup de pluie.

C'est ce qui complète ce billet d'actualité!

Tuesday 29 November 2011

Billet de fin de session

Bonjour à tous, cette semaine, le billet va conclure la session ainsi que l’analyse de notre catastrophe, soit l’évènement de Toungouska.

Tout d’abord, le cours en ensemble a été assez intéressant. Nous avons pu voir les changements climatiques sur tous les angles ainsi que les répercussions que ceux-ci peuvent avoir sur les grands centres urbains sur le plan social autant que sur le plan géographique. J’ai bien aimé le fait qu’on ait pu voir les notions théoriques sur un côté plus pratique comme les vidéos et les blogues.

Une petite suggestion que j’aimerais apporter serait de mettre plus d’emphase sur le côté pratique. Par exemple, en visionnant un vidéo, cela permet de visualiser ce qu’on apprend et facilite grandement l’apprentissage. Il pourrait également être intéressant de faire des excursions afin de voir réellement certains aspects de la matière.

Maintenant, pour ma recherche, j’ai trouvé très enrichissant de faire une analyse complète d’une catastrophe naturelle. Cela m’a permis de voir l’ensemble des conséquences que cela peut apporter sur une région, un pays ou même sur le plan international. Cela m’a également apporté de nouvelles connaissances sur l’histoire de la Russie, ce que j’ai bien aimé puisque c’est un sujet que j’apprécie beaucoup.

Le fait de devoir tenir un blogue sur de nombreuses semaines était également intéressant, car cela nous donnait une plus grande marge de manœuvre et nous amenait à être responsables dans la gestion de notre temps.

Monday 28 November 2011

Billet d'actualité

Bonjour chers lecteurs, cette fois-ci le billet va traiter d'une catastrophe naturelle étant arrivée tout récemment.

L'incident s'est produit le 9 novembre alors qu'un tremblement de terre d'une magnitude de 5,6 a frappé la Turquie. Le séisme a causé une dizaine de décès et on dénombre des effondrements d'environ 25 immeubles dont 23 étaient vides. On peut dire que la Turquie est une zone à risque pour les séismes, car un peu moins de 3 semaines auparavant les Turcs avaient été victimes d'un autre tremblement de terre. Celui-ci avait causé plus de 600 décès, environ 4150 blessés et plus de 5000 immeubles s'étaient effondrés. Toutefois, pour le séisme du 9 novembre, les experts s'entendent pour dire qu'en temps normal, un séisme de cette magnitude n'aurait pas causé autant de dommages, mais que les immeubles et bâtiments de la région étaient déjà fragilisés par l'incident précédent.

Un autre aspect qui démontre la vulnérabilité de la Turquie est la polémique concernant les normes sismiques et l'honnêteté des constructeurs lors de la conception des bâtiments. On croit qu'avec un meilleur respect de certaines normes, le risque d'incident grave suite à des séismes pourrait être bien plus faible.

C'est ce qui complète ce billet!

Monday 21 November 2011

Billet 9 : analyse des impacts géopolitiques

Bonjour à tous!
Cette semaine, nous allons regarder de plus près les impacts géopolitiques entraînés par notre catastrophe, l'évènement de Toungouska. Il y aura deux parties, soit, avant l'incident et après.


Tout d'abord, pour nous mettre en contexte, la Russie en 1908 est sous le règne du tsar Nicolas II. C'était un régime monarchique autocratique, c'est-à-dire que le tsar avait le plein pouvoir. La Russie est également en période de développement économique avec l'industrialisation. Il y a aussi une grogne au sein de la population qui est insatisfaite du tsar et prête à se rebeller (ce qui arrivera finalement en 1917). À cette époque, l'Empire russe est également militairement et économiquement faible. On ne peut pas dire que la Russie est un leader technologique et le taux d'alphabétisation des habitants est très faible. En 1905, il y a eu un conflit entre les Russes et le Japon qui s'est étiré sur une durée d'environ 1 an et demi. Du côté de l'aide internationale, la Russie n'était pas un leader mais n'était pas non plus dépendante, elle occupait un rôle plutôt neutre.

Comme nous l'avons vu précédemment, la météorite est tombée au milieu de nulle part, mais imaginons qu'elle était tombée sur Moscou, quelle aurait été les conséquences?

Joseph Staline
Pour débuter, le tsar Nicolas II ainsi que les autres hauts dirigeants ou conseillers devait vivre à Moscou. Alors si la ville est rasée par un météorite, la Russie est soudainement privée de monarque et donc se retrouve dans une situation assez inquiétante. Si on se fie à l'histoire, il y aurait pu avoir une course au pouvoir, comme Staline a fait en 1922. On aurait même pu assister au déclenchement d'une guerre civile. De plus, comme Moscou est la capitale de la Russie, le pays aurait eu à faire face à de lourdes conséquences économiques. Les effets auraient été sentis dans de nombreux domaines, il y aurait eu un énorme bond en arrière sur le point de vue technologique ainsi que culturel. Toutefois, les dommages auraient été catastrophiques sur le côté social du pays. Les pertes humaines seraient considérables, le pays serait dans une situation chaotique et des conflits verraient le jour.



Dans une situation comme celle-ci, des pays seraient peut-être intervenus afin de mettre fin aux conflits naissants ou de mettre de l'ordre sur le point de vue politique. Sur la scène mondiale, l'image russe aurait probablement changé pour la plupart des gens. D'un autre côté, les pays intervenants auraient peut-être été tentés de prendre le pouvoir. De toute manière, dans une telle situation, l'histoire aurait été marquée et changée a jamais.




C'est ce qui complète le billet de cette semaine.

Sunday 13 November 2011

Billet 8 : résumé de lecture

Bonjour à tous, le billet de cette semaine va être différent des autres puisqu'au lieu de parler de l'évènement de Toungouska, je vais faire un résumé d'un texte.

Tout d'abord, les habitants de Tuvalu sont confrontés directement aux changements climatiques. Ils croyaient que ceux-ci auraient des impacts que sur la biodiversité de leur environnement, mais c'est finalement leur sécurité qui est en jeu. On croit que l'État des Tuvalu serait compromis à cause de l'élévation du niveau de l'eau, à l'augmentation de la température de l'eau ainsi qu'à la modification du régime des vents. Si la tendance se maintient, l'archipel pourrait être noyé d'ici cinquante à quatre-vingts années. Cela nous amène à nous demander ou est-ce que les 11000 habitants de Tuvalu iront-ils et quelle protection juridique obtiendront-ils.

Les changements climatiques ne se font pas sentir uniquement à Tuvalu, mais dans le monde entier. Le Bangladesh, qui compte plus de 150 millions d'habitants concentrés sur un territoire qui fait environ le quart de la France vit ce problème. Les fleuves importants, l'érosion des berges ainsi que les précipitations importantes font que les gens qui habitent en région doivent migrer vers les grandes villes comme Dacca. Par contre, cette ville aussi est sujette aux intempéries, alors les habitants devront se tourner vers les pays voisins. Ces pays sont également confrontés aux mêmes problèmes et sont hostiles envers la migration sur leur territoire.

Suite à ces problèmes, il faut trouver des solutions. La plus évidente est sans doute de limiter les émissions de gaz à effet de serre au minimum. Toutefois, en cas d'échec, une protection doit être fournie aux migrants forcés de climat. Les estimations indiquent que les migrations environnementales allaient être d'environ 200 millions à un milliard de personnes d'ici 2050. Cette protection doit également être offerte aux gens touchés par des catastrophes d'origine humaine, comme Tchernobyl.

GARNIER, Donatien (2009). <<Les réfugiés de l'environnement>>, L'État du Monde 2010, Montréal, La Découverte Boréal, p.207-211

Tuesday 1 November 2011

Billet 7 : analyse des mesures d'urgence et de la réaction des gouvernements

Bonjour à tous! Cette semaine, nous allons regarder les mesures d'urgence et la réaction du gouvernement russe face à une crise. Tout d'abord, puisque l'évènement de Toungouska n'a pas réellement affecté la population russe, nous allons estimer quels auraient été les moyens utilisés par les autorités. Pour y arriver, nous allons regarder les moyens entrepris par le gouvernement pour faire face à deux incidents majeurs qui ont touché la Russie. Premièrement, la famine de 1921, qui a fait plus de 10 millions de victimes. Et, deuxièmement, la catastrophe de Tchernobyl, qui est survenue en Ukraine, mais gérée en bonne partie par le gouvernement russe.

Pour débuter, si une météorite de grande envergure venait à frapper une ville russe, celle-ci serait réduite à néant. Avec les moyens de l'époque, il aurait été bien plus difficile de prévoir cet incident qu'aujourd'hui. Par contre, la principale mesure d'urgence serait d'évacuer la ville afin de sauver la vie des habitants. On peut estimer que le premier moyen pour ordonner l'évacuation des gens serait un appel à la radio, qui était une méthode utilisée fréquemment pour annoncer une nouvelle grave.

Ensuite, pour gérer la crise, les personnes évacuées auraient besoin de trouver un refuge et de la nourriture. Dans ce cas, le gouvernement pourrait demander aux villes voisines d'accueillir les sinistrés et pourrait également mettre en place un programme d'aide alimentaire. Une étape cruciale afin de bien gérer la crise serait de trouver beaucoup d'aide humaine. Il faudrait rebâtir les réseaux électriques, les réseaux routiers, les aqueducs, les bâtiments. Il faudrait également des gens pour identifier les personnes, pour assurer la coordination de l'évacuation et également pour nettoyer la zone d'impact.

Il aurait aussi fallu fournir beaucoup de ressources matérielles aux gens évacués. Par exemple, lors de l'évacuation de Tchernobyl et de ses environs, les gens devaient seulement apportés les éléments essentiels à leur survie. Toutefois, il faut leur trouver un abri, des produits hygiéniques et aussi de la nourriture.

Pour ce qui est de l'aide financière, lors de la famine de 1921, la Russie avait refusé l'aide provenant de l'extérieur du pays. Par contre, même sans demande d'aide par le gouvernement russe, les autres pays ont décidé d'offrir de l'aide et des centres de denrées alimentaires furent ouverts ainsi que l'aide du Comité international de la Croix-Rouge.

Si une telle crise venait à arriver aujourd'hui, l'aide offerte serait bien différente qu'a l'époque. L'aide internationale serait bien plus grande, plusieurs organismes pourraient aider la Russie. On note par exemple, l'UNICEF, l'OMS, le Programme alimentaire mondial. Pour la reconstruction, la Russie pourrait recevoir de l'aide de l'ONU et de la Banque Mondiale afin d'amasser des fonds. Dans les cas d'aide précédents, ce serait surtout des organismes externes qui viendraient en aide aux sinistrés, plutôt que le gouvernement russe.

Finalement, pour que la crise soit bien gérée, le gouvernement russe devrait émettre un avis d'évacuation rapide, contrairement à l'incident de Tchernobyl où la Russie a mis 2 jours avant d'être informée de la situation, et des centres d'alimentation. Dans le cas de la famine de 1921, le gouvernement Russe a mis beaucoup de temps à réagir et qui n'ont reconnu que plus tard, l'ampleur du problème.

C'est ce qui complète ce septième billet!

Saturday 15 October 2011

Billet de mi-session

Bonjour à tous, comme c'est la mi-session, je vais faire le point à propos de mon appréciation globale du cours.
Tout d'abord, je vais y aller avec mes points forts. Le cours est rapide en général, on avance rapidement dans la matière en mettant des éléments qui ne sont pas importants ou pertinents de côté. Ensuite, les éléments à étudier sont clairs, ainsi que les devoirs à faire. Afin de faciliter la compréhension des élèves, Martin utilise des exemples qui reflètent les catastrophes en situation de tous les jours.

Il n'y a pas vraiment de points faibles qui ressortent mais je vais y aller avec une proposition qui pourrait, selon moi, rendre le cours encore plus intéressant. Bien qu'il y ait déjà des supports visuels afin de nous aider à visualiser la matière, ceux-ci restent assez théoriques, on pourrait alors en trouver qui montre les côtés plus pratiques, comme pour les vidéos des volcans.

C'est ce qui résume mon opinion par rapport au cours.